Un jeune curé, très angoissé, et après avoir été incapable de prononcer un seul mot le jour de son premier sermon, demande conseil à l’Archevêque.
Ce dernier lui conseille de verser quelques gouttes de vodka dans un grand verre d’eau pour être plus détendu.
Le dimanche suivant, le jeune prêtre se sentit si bien qu’il aurait pu parler de n’importe quoi.
De retour à la sacristie, il trouve une lettre laissée par l’Archevêque, ainsi rédigée :
"Mon fils,
La prochaine fois, mettez quelques gouttes de vodka dans un grand verre et non l’inverse.
De plus, je vous fais part de quelques observations après votre sermon.
Il n’est nul besoin de mettre une rondelle de citron sur le bord du calice.
Evitez de vous appuyer sur la statue de la Sainte Vierge et surtout évitez de la
serrer dans vos bras et de l’embrasser constamment.
Il y a 10 commandements et non 12.
Les apôtres étaient 12 et non 7 et aucun n’était nain.
Nous ne parlons pas de Jésus et ses apôtres comme de J.C et ses potes.
Judas n’est pas un fils de pute.
Vous ne devez pas parler du Pape en disant le Parrain.
Ben Laden n’a rien à voir avec la mort de Jésus.
Ne célébrez plus la messe assis sur les marches de l’autel.
Les hosties ne sont pas des gâteaux apéritif.
Les pécheurs iront en enfer et non se faire enc…
L’initiative d’appeler les fidèles à danser était bonne,
mais pas celle de faire la chenille dans toute l’église.
L’homme assis près de l’autel et que vous avez constamment appelé le pédé et le travelot en jupe, c’était moi.
Voilà, c’est tout ce que j’avais à vous dire.
Sincèrement, l’Archevêque.
PS : J’oubliais, Jésus n’a pas été fusillé."